Ouverture des domaines

Ladyvolt arriva enfin de Toulon . Face à elle se trouvait les portes de la Demeure des Martius. Elle ne savait vers qui se tournait pour aller se présenter quand soudain elle aperçut Le sergent deminerve.

Sergent , ravie de vous voir ici. Ou dois je aller pour me présenter s'il vous plait?

Avant de partir,

Il avait vu Ladyvolt.

Allez, au repas de midi avec les autres.

Il s'en alla ensuite vers les écuries

(dsl pour l'incohérance RP)

Orionnos arriva enfin aux portes du Domaines. Il était en retard, une affaire à Brignoles, l'avait contraint à retarder son départ.

Pourvu que la Comtesse Ingeburge ne lui en tienne pas rigueur.

Me voilà bien perdu dans cet immense lieu, voyons si il y a plus de monde vers la demeure qui pourra me renseigner.

Tribzere arriva en retard et vit Orionnos qui était là et tout comme lui certainement en retard aussi.

Salut Orionnos alors toi aussi en retard???

Le fanion de Fayence flottait au-devant la petite troupe.
Les cavaliers avaient gardé une bonne allure et malgré le soleil d'avril déjà chaud, ils avaient fait la route en quelques heures.

Une fois que l'on devina le castel, la Baronne fit arrêter les soldats.
Elle plissa les yeux en posant son regard sur ce domaine, pensive...

Enfin, elle donna le signal de continuer d'avancer et le commandant vint à sa hauteur.
Ma dame, si vous le désirez, je peux aller vous annoncer en avant.
Elle le remercia d'un sourire avant de répondre.
Merci, commandant, mais ce n'est pas utile. Les gardes là-bas reconnaîtront bien nos armes.

Moins d'une demi-heure plus tard, les chevaux passaient les portes du castel de Roddi.

Heulynn mit pied à terre ainsi que ses soldats.
Des gardes vinrent les accueillir et menèrent les soldats aux communs où ils pourraient se rafraîchir et se restaurer.
Un des gardes s'avança vers Heulynn et après avoir détaillé ses vêtements (elle avait changé sa robe de voyage prévue pour le route en
carrose contre une tenue de voyage beaucoup plus masculine et confortable pour voyager à cheval - ndlr), la pria de bien vouloir le suivre. Ce qu'elle fit docilement.

Il la conduisit à l'endroit où se déroulait l'accueil des invités.

Matilda fut surprise de voir la baronne arriver dans une tenue si peu adaptée à l'occasion

Baronne... les invités sont partis en chasse.. et si je peux me permettre, c'est fort mieux ainsi...
Votre accoutrement ne vous met nullement en valeur....
Je vais vous conduire à votre chambre, et vous faire porter quelques raffraichissements.. je vais aller chercher dans mes effets personnels une tenue plus adaptée, afin que vous puissiez vous changer...
En attendant, je vous prierais de ne pas sortir de vos appartements, et ce jusqu'à mon retour, ou l'arrivée du comte, qui viendra certainement vous demander personnellement pourquoi vous arrivez ainsi..... déguisée!

Heulynn reconnut Matilda dés qu'elle l'aperçut.
Cette femme à la langue bien pendue lui plaisait beaucoup !
Nul doute qu'en d'autres occasions, elles auraient pu très bien s'entendre...

Elle la salua d'une petite inclinaison du buste et écouta religieusement ses paroles un rien acides.

Il fallait lui accorder que braies, chemise, bottes et ceinturon n'étaient pas les habillements habituels d'une telle organisation.

Lorsque Matilda acheva sa phrase, Heulynn reprit, d'une voix douce et calme.
Merci, Matilda...je peux vous nommer ainsi, cela ne vous ennuye pas ?
J'admets que je ne suis pas...Elle regarda ses braies en souriant...très féminine...C'est mon côté sauvage qui a pris le dessus ce matin !

Je vous suis, Matilda, je vous suis.
Et surtout...Un large sourire se dessina sur son visage...J'attendrai que le Comte vienne m'interroger sur ma tenue.
Heulynn déserra son ceinturon et suivit Matilda, admirant au passage, la beauté du lieu et la richesse des ornements.

Matilda sourrit

Vous pouvez m'appeller ainsi, puisque c'est ainsi que je me nomme..

elle conduisit heulynn jusqu'à ses appartements, et, se retournant un instant, vit qu'elle avait déjà commencé a se devetir

Hum.. je préfererais que vous attendiez d'etre dans vos appartements pour cela...

La jeune femme rougit et sourit...Elle acquiesça d'un signe de tête en pensant qu'il était de coutume, en un autre lieu de d'abord...avant de...Mais cela, Matilda ne pouvait pas le savoir ! Elle retint un petit rire et interrompit ses pensées lorsque Matilda ouvrit la porte de ses appartements.

Elle entra et découvrit avec ravissement, un endroit charmant.

Merci, Matilda.
C'est très joli...Superbe endroit.

Elle sourit à la dame et se dirigea vers le lit en défaisant les liens de sa chemise.
Se retournant vers Matilda :
Ca ira, Matilda, merci bien.
Dites à messire le Comte que je suis arrivée, je vous prie, dés son retour.
Je vais en profiter pour me rafraîchir et me reposer un peu. La route fut longue...

Elle se retourna à nouveau et acheva le délaçage de sa chemise...

alastor arriva au chateau au terme de quelsques heures passé sur son cheval

Il avais laissé oroch en route car celui ci ne cessait de s'arrété pour boire le contenu de sa gourde remplit de vin de messe.

alastor mis le pied a terre et se dirigeat vers la porte du chateau en ayant pris soin de prendre son baluchon d'affaire de rechange qu'il avais pris avec lui afin d'etre presentable devant le conte.

alastor vit un garde et se dirigeat vers lui afin de savoir a qui il devait laissé son cheval afin que il soit amené au écuries. Le garde lui dit de ne pas bouger et que il allais appelé qqn.

tout de suite apres un laquais vint et pris le cheval.

alastor se dirigeat alors vers l'acceuil.

[size=9]là un des garde s'avancat. Ce dernier le regardat et lui demanda son nom. le garde regardat sa liste des invités et repondit que alastor ne faisait pas parties des invité du conte a cette soirée.

Alastor lui repondit que il n'étais point seul et qu'il accompagne son curé sieur oroch qui lui est invité et qui ne devrait plus tardé à arriver.

Alastor posa son baluchon a terre et se mis a attendre sieur Oroch

arrivé en retard, Oroch demande Alastor

Bhen fiston on est pressé Smile

?
il est avec moi c'est mon compagnaon de voyage car depuis mon retour en Provence je ne voyage plus seul dit il en s'adressant au gard

puis ils entrent dans la salle d'acueill ou un beau monde y était
regarde fiston c'est la haute soiciété Provençal des gens de mérité et de respect, en tant que future diacre tu doit bien te porter

Matilda, redescendue des appartements de la baronne, s'approcha du pretre et d'un jeune homme qui visiblement l'accompagnait

Mon père, je suis heureuse de vous voir ici... Avez vous fait bon voyage?

Avant qu'il n'ait eu le temps de répondre, elle reprit

Le comte et les invités sont pour la plupart à la chasse actuellement, mais..elle regarda le soleil qui se faisait moins hautils ne devraient pas tarder..

Si vous souhaitez vous raffraichir un instant.. je vais vous montrer vos appartements..
elle se tourna vers le jeune homme

Oh, je vois que vous avez ammené votre personnel.. elle sourit Vous n'avez donc pas confiance en le notre?

A son tour, Fra_Diavolo arriva au joli domaine. Il jetta un oeil vers les invités déjà arriver et reconnut quelques personnes qu'il salua d'un vague signe de main.
Cependant, à peine arrivé, il commençait déjà à s'ennuyer de ces réceptions mondaines
Et bien, si c'est le genre de truc que je devrais faire si je deviens noble...
Puis, il vit un garde, il lui montra son invitation.

un agreable voyage merci a vous

et en regardant Alastor et l'imaginant entrain de faire les travaux de doméstique

ah non c'est le future diacre de Draguignan et un ami a moi vu que je ne peux voyager seul il m'accopagne et il apprend a coonatre le beau monde des seigneur de Provence

et il se dit il fera un mauvais domestique en plus lol

... se sera avec plaisir si vous me conduisez a mes appartements je suis un peu fatiguer

Alastor se retourna et vit sieur Fra qui arrivait

alastor s'adresse a sieur oroch pour lui signaler que il devrait attendre son grand ami qui vient tout juste d'arrivé. il lui montra au loin la silouette de fra qui se dessinais

amuser par la situation

en voila l'équipe de l'église au complet

en saluant d'un signe de la main Fra qui tendait son invitation au gard a la porte

Matilda sourit, et vit Fra arriver egalement, se disant que tout le clergé dracenois s'était donné rendez vous. elle les conduisit jusqu'à leurs appartements, situés dans une autre aile que celle où les nobles étaient logés

Les visiteurs ne devraient plus tarder, et le banquet non plus. Ce soir nous aurons des troubadours, des jongleurs et des cracheurs de feu...

je vous remercie, que Dieu vous garde mon enfant

alastor suivit dame mathilda puis lui dit:

je vous remercie dame mathilda vous etes trop bonne

Matilda ecarquilla les yeux en entendant alastor... Bonne? elle avait entendu le comte prononcer ce mot plusieurs fois, et avait peur du sens qu'elle entendait

Hum excusez moi jeune homme, mais... mon francais est plutot approximatif... vous voulez dire que vous me trouvez seduisante, c'est cela?

elle avait prit un timbre très ferme envers cet homme qui aurait pu etre son fils

sourit méchament, puis se dit que c'est pas gentil de ne pas eclaircire ce genre de situation

bien que mon français n'est pas a la hauteur du votre, mais je saisi le sens que sieur alastor entend, il trouve vos maniéres et votre gentillesse des traits bien appricié ainsi que votre acueille tres chaleureux et ceci caractérise les "bonnes" personnes chez lui

Matilda acquiessa aux paroles du pretre

Merci mon père... le comte lui donne un sens tout autre à ce mot là, aussi je suis un peu... égarée...

ils arrivèrent devant les appartements, et elle laissa alors les pretres en prendre chacun un, et se retira pour acceuillir les troubadours

alastor fut surpris de voir la maniere dont mathilda avais pris son expression

voyons bonne dans le sens de serviable bien sure

Il était évident que vouloir aider l'intendant de la commune à compter les moutons destinés à la tonte de printemps n'était pas la meilleure idée qu'elle ait eue hier…
Non seulement elle avait piqué du nez plus d'une fois en regardant passer les brebis à la tête dégagée des laines hivernales, mais elle s'était carrément effondrée lorsqu'il avait fallu noter à la chandelle dans les registres chaque nom, numéro, poids, taille, longueur de coupe, portée, taille, nombre de moutons à cinq pattes et autres détails tout aussi importants les uns que les autres…

Ce n'est qu'au milieu de la nuit qu'un vague sursaut la réveilla, alors qu'elle rêvait qu'un de ces moutons avait été tout spécialement mis de côté, et qu'on s'employait à le nourrir exclusivement de poisson sous prétexte que sa laine serait plus blanche et servirait à la confection d'un gilet pour un comte…

L'attelage avait été aprété avec force et vivacité, et c'est fourbue qu'elle arrivait à présent aux portes du domaine.
Elle se mordait les lèvres d'arriver aussi tardivement, redoutant à la fois le regard réprobateur des uns, et le manquement dû à certaines obligations auxqu'elle ne se permettrait pas de déroger.

Elle descendit et s'approcha des gens de maison qui semblaient disposés à accueillir les visiteurs.
Une pensée l'avait poursuivie cependant, tout au long du chemin qui la l'éloignait de Forcalquier …

* était-il déjà arrivé… avait-il pu se libérer des lourdes charges qui lui incombaient à présent que son père… non… ne penses pas à de si pénibles évènements… allons… souris…*

Jerminel arrivé en retard au domaine, géné il s'approcha de ses hotes.

Bonjours à vous, Monsieur le comte, Madame.
- Merci encore pour votre invitation, je m'excuse bien fort de mon retard. Je vous félicite pour les préparatifs, tout est sublime.

Jerminel se disait que le weekend semblait en bonne voie et ne pensait pas avoir jamais assisté à fête si somptueuse

» Ouverture de la chasse